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Morgane Dereeper : ou Lucile Démolin :
« Cette expérience est exceptionnelle. Elle apporte tant de belles choses humainement et professionnellement, comme la compréhension des cultures, le partage d’expériences, se sentir utile. ». Dans un article publié le 11 octobre dans Le Maine Libre, zoom sur le « Congé solidaire® », un programme de volontariat créé par Planète Urgence.
"L’idée était de se dire: comment créer des espaces de convivialité dans ces petites communes ? Et pour ça, le vecteur du café semblait être la meilleure des options" Le 13 septembre, Chloé Brillon, Directrice du projet 1000 cafés, était au micro de Matthieu Belliard sur la matinale d'Europe 1 pour présenter l'initiative 1000 cafés.
Le 11 septembre, BTM TV s'est intéressé à l'appel à candidature lancé par le GROUPE SOS auprès de 32.000 communes de moins de 3500 habitants afin de créer ou reprendre 1000 cafés en milieu rural pour en faire des lieux de vie ouverts à tous.
"L'idée est de leur redonner le goût au travail, avec un emploi stable à terme, voire un CDI. Mais également un suivi médical, social et psy pour les aider à se sortir de leurs addictions" Le 31 juillet, France Bleu Provence est revenu sur le dispositif TAPAJ (Travail Alternatif Payé à la Journée) à l'occasion du lancement du premier chantier pour le bailleur social 13 Habitat à Marseille.
"Malvina est une spectatrice particulière : elle a des yeux pour deux. Celui à qui elle offre son regard, c'est Bruno, déficient visuel." Le 20 juillet, La Provence a consacré un article aux Souffleurs d'Images. Initié par le Centre théâtre recherche handicap (CRTH), ce service propose aux personnes aveugles et malvoyantes d’accéder, quand elles le souhaitent, à l’événement culturel de leur choix.
Dans une tribune publiée le 11 juillet dans Le Point, Jean-Marc Borello, Président du Directoire du GROUPE SOS, s'oppose à l'instauration des quotas annuels d'immigrés. Pour lui, l'immigration est une chance pour notre pays, une immense opportunité sociale, humaine, économique et culturelle.
Le 6 juillet, le JT de 13h15 de France 2 a consacré un reportage au programme de compagnonnage en maraîchage agroécologique, porté par Fermes d'Avenir et GROUPE SOS Solidarités. Ce programme est né d'un double constat : " d’un côté, la demande de produits bio augmente alors que nous manquons de main-d’œuvre qualifiée en agro-écologie & permaculture ; de l'autre, sur les 2000 places de centres d’accueil pour demandeurs d'asile que nous gérons, 10% se déclarent agriculteurs ou ayant une expérience agricole."
Dans une interview publiée le 11 juin dans L'ADN, Hélène Béjui, Membre du Directoire du GROUPE SOS en charge de la Transition numérique, revient sur les enjeux de la Tech for Good et plaide pour un numérique inclusif, engagé et durable.
« A 87 ans, Emmanuel s’apprête à partir dans l’espace. Ce voyage incroyable, il va le vivre assis sur sa chaise. » Pour Commune Image, la réalité virtuelle peut améliorer la vie des personnes âgées atteintes de maladies neurodégénératives. Le 5 mai, le JT de 13h de TF1 a suivi l’immersion dans l’espace des résidents de l’EHPAD Camille Saint-Saëns, un établissement de GROUPE SOS Seniors.
" La ferme de l'Envol, c'est le point de départ, l'épicentre du projet. Mais Sésame est beaucoup plus global ; on veut initier une dynamique de ‘mieux manger' pour tous les habitants du territoire, sans conditions de ressources." Portée par Fermes d'Avenir, la Ferme de l'Envol a fait l'objet d'un article publié le 16 avril dans Les Echos.
Dans un article publié par France 3 Bretagne, zoom sur le congé solidaire®, un dispositif initié par Planète Urgence. Lancée en 2000, l'ONG noue des partenariats avec de nombreuses entreprises qui vont permettre à leurs salariés de s'engager sur le temps des congés payés, maximum 2 semaines.
"Nous partons du principe que chaque difficulté doit être porteuse d’innovation." A l'occasion de la sortie de son ouvrage "L'entreprise doit changer le monde" (Débat Publics), Jean-Marc Borello, Président du Directoire du GROUPE SOS, dévoile sa vision de l'entreprise dans une interview publiée le 7 avril dans Le Républicain Lorrain.
"On était un village gaulois, et aujourd'hui, on est une alternative qui fait référence." Dans une interview publiée le 5 avril dans Décideurs magazine, Jean-Marc Borello, Président du Directoire, revient sur le modèle et la genèse du GROUPE SOS qu'il a fondé il y a 35 ans.
"Les chiffres prouvent la pertinence de ce nouveau service : 6 000 bénéficiaires pour 60 000 documents stockés et 350 structures partenaires." Le 4 avril, 20 minutes édition Lille a consacré un article à Reconnect, un cloud solidaire qui permet aux personnes en situation de précarité de stocker des documents importants.
"Aujourd'hui, ce qui est intéressant, c'est notre capacité à travailler en transversalité sur des secteurs différents. C'est ça notre véritable force." Dans un article publié le 26 mars dans La Provence, Jean-Marc Borello, Président du Directoire du GROUPE SOS, revient sur le modèle du Groupe.
" On a constaté que, dans plus d’un cas sur dix, les chômeurs retrouvent un emploi simplement en ayant une information du type « il existe un bus pour relier votre maison à votre entreprise. »" Dans un article publié le 26 mars dans Le Parisien, Florence Gilbert, Directrice générale de Wimoov, analyse la mobilité des citoyens.
En attendant son inauguration officielle programmée pour mi-mai, H7 a dévoilé le nom des 36 premières startups de sa première promotion. A cette occasion, La Tribune a consacré un article à ce nouveau lieu totem de la french tech lyonnaise porté notamment par le GROUPE SOS.
"Il n'y a pas d'incompatibilité entre l'intérêt général et les profits de l'entreprise." A l'occasion de la sortie de son nouvel ouvrage "L'entreprise doit changer le monde" (10 janvier, Débats Publics), Jean-Marc Borello était invité de l'émission 12h l'Heure H, diffusée sur BFM Business. Le Président du Directoire du GROUPE SOS a notamment partagé sa vision de l'entreprise.
le 20 février, Carenews a consacré un article à la reprise de l’association ANDES par le GROUPE SOS. Plus de 93% des postes actuels, dont 100% des contrats en insertion, ont ainsi été sauvegardés, soit près 100 emplois.
"Pérenniser les actions des épiceries solidaires s’inscrit dans l’ADN du groupe SOS, dans sa tradition de lutte contre toutes les formes d’exclusion." Dans un article publié le 19 février dans Go Met', zoom sur la reprise d'Andes (Association nationale de développement des épiceries solidaires) par le GROUPE SOS.