1 septembre 2025 • ACTUALITÉS
Une enquête* inédite publiée ce lundi 1er septembre met en lumière un paradoxe : beaucoup de personnes exilées travaillent, élèvent leurs enfants, participent à la vie collective. Mais faute de régularisation, ces personnes restent piégées dans la précarité et la société en paie le prix. Le Groupe SOS réaffirme sa conviction, portée depuis toujours : favoriser l’intégration des personnes en exil n’est pas une menace, c’est une chance et une nécessité.


